🥎 Chanson C Est Mon Anniversaire Le Jour Que Je Préfère

Unconcours a même été organisé par une radio américaine, pour désigner la meilleure chanson alternative à Joyeux anniversaire. Parmi le top 3, l’on retrouve alors It’s your birthday de Monk Turner et de Fascinoma, An alternative birthday song de Bob Barta, et enfin It’s your birthday qui a été interprété par Blank Tapes. jevous ai déja écrit avant que vous vous produisiez en tunisie pour vous demander de me chanter ma chanson préférée!!ce jour là vous nous avez offert un des moments les plus magiques!! merci fatma étudiante à Tunis et une de vos plus grandes fans. Cristina 24 mai 2007 at 21:26 Répondre. J’ai reçu un mail avec votre blog le 20 mai, le jour du dixième Lemodèle de discours des 20 ans d'une jeune femme que nous vous proposons ici devra évidemment être adapté avec vos propres souvenirs et en fonction du ton que vous souhaitez donner à la soirée (drôle, solennelle, décontracté, etc). Vous veillerez également à ce que votre temps de parole soit raisonnable pour être apprécié par Cest le baiser , le baiser du vampire. Le [Ce] baiser qui vous fera défaillir. Un seul de ces baisers dans votre cou. Et vous voilà tout sans dessus dessous . - Le comte Nosphère à pattes [pat pat ou Le prince Nosférapattes panpan] Revenant des Carpates [par pat ou Qui venait des Carpates pan pan] Ajusta sa cravate. Parceque c'est là qu'elle vient gonfler Seul est sacré le droit des femmes A disposer de leurs bébés Mais s'il fallait qu'un jour je dise Ce que je pense de la vie avant la vie Je dirais qu'il faut pas qu'on la brise Je dirais qu'elle n'a pas de prix Que le gosse qui pousse dans ton ventre C'est un gros morceau de paradis Hmm je m'sens si seul Hmm, laissez-moi, c'est mon droit d'être déprimé dans mon fauteuil Y a l'espoir d'une lueur Que demain sera meilleur mais Mais j'en ai marre d'être déprimé Et ça m'déprime d'en avoir marre Et à quoi bon me réveiller ? J'préfère dormir toute la journée si c'est pour vivre ce cauchemar Cest une voix qui novembre à merveille, un souffle qui a aimé sans compter, démesuré, la voix d'une époque, plus romantique sans doute. Elle est datable, comme la mort de Barbara qui l'a Cétait mon anniversaire, le jour que je préfère. lalalalala. Coupe de champagne le 11 à minuit dans ma chambre, investie par presque toute la mission. Et dégustation d'un Heidsieck Co Monopole premier cru: Merci Jaime les bougies de mon anniversaire Et j'aime aussi les fêtes mamans Mais le jour que je préfère C'est Noël, la fête des enfants C'est Noël, la fête des enfants Papa Noël toi tu marches sur les toits Il a neigé ne fais pas de faux pas Quand tout là-haut sur la neige où tu seras Ne m'oublie pas Ne m'oublie pas J'aime toutes les fêtes Ouc’est à lui de faire le premier pas? Je souligne que mon objectif est de le reconquérir et lui aussi. Je lui ai seulement envoyé un message pour lui demander s’il était bien arrivé et si tout se passait bien, il m’as ainsi répondu que oui. Je remarque donc que le contact avec lui est facile. Merci encore, Bonne journée, Amandine SégolèneValente est née le 18 février 1973 à Paris où elle habite toujours. Au collège, elle préférait lire et inventer des histoires plutôt que de résoudre des problèmes d'algèbre. Ses professeurs de français lui ont appris à écrire et depuis elle n'a plus arrêté, même en cours demaths : poésies, chansons, pièces de Cest aujourd’hui que Patrice Michaud célèbre son 41 e anniversaire de naissance!. Né le 1 er novembre 1980 à Cap-Chat, en Gaspésie, l’auteur-compositeur-interprète a été récipiendaire de trois prix au Festival en chanson de Petite-Vallée en 2008, avant d’être élu grand lauréat du célèbre Festival international de la chanson de Granby, l'année suivante. L'amour c'est comme un jour" (ça s'en va, ça s'en va mon amour, notre cœur s'en est allé) "Les Comédiens" 1962 (Charles Aznavour) l'une de ses "éternelles !" "Bon anniversaire" 1963.(Charles Aznavour) ah, les violons ! Dans le sens que vous voulez, tout sens est valable. "Donne tes seize ans" "Viens, donne tes seize ans aux amours éternelles" 1963 "Viens au Quelquesidées ici. - Une fois le questionnaire rempli et l'air choisi, je vous envoie mes coordonnées pour que vous puissiez verser un acompte. J'écris alors un couplet, un refrain, dans les deux jours, pour être sûre que cela vous plait, Providedto YouTube by IDOLC’est le jour que je préfère (Conte) · Mannick · Jo AkepsimasChansons & contes à rebours (De 3 à 7 ans)℗ ADF-Bayard MusiqueRelease BYxy. Vous êtes un farceur mais vous en avez marre des blagues courtes et trop simples, des blagues de beaufs, ou même de l’humour noir qui se veut cynique mais ne fait plus rire personne tant c’est vu et revu ? Alors ce top est fait pour vous. Ici on explore un genre pas nouveau, mais pas si connu la contrepètrie. Il s’agit d’une inversion des lettres ou des syllabes d’un ensemble de mots produisant un sens burlesque, souvent obscène. Voyons ensemble ce que ça donne. 1. Elle a le choix dans la date Elle a le doigt dans la chatte. 2. Superman a une bouille incroyable Superman a une couille inbroyable. 3. Ce que j'aime dans le clip de Madonna, c'est le son Ce que j’aime dans le slip de Madonna, c’est le con. 4. Est-ce que tu es déjà arrivé à pied par la Chine ? Est-ce que tu es déjà arrivé à chier par la pine ? 5. Il ne faut pas chourrer le bien du voisin Il ne faut pas bourrer le chien du voisin. 6. Je n'ai pas de rebord à mes epaulettes Je n’ai pas de remords à mes ebaulettes = Je n’ai pas de remords à baiser Paulette. 7. Elle est folle de la messe Elle est molle de la fesse. 8. En pull Lacoste En cull Laposte = Encule la poste. 9. Salut Fred Falut Sred = Phallus raide. 10. Une panne de micro dans la piece du fond Une pine de macro dans la fece du piond = Une pine de maquereau dans la fesse du pion 11. Nul n'est jamais assez fort pour ce calcul Nul n’est jacul asser fort pour ce calmais = Nul n’éjacule assez fort pour se calmer. 12. École nationale supérieure des mines de Paris École nationale supérieure des pines de maris. 13. Conan le Barbare Connard le barbant. 14. Tacite se promène en babouches Ta bite se promène en sa bouche. 15. Carla chatouille sa gratte Carla gratouille sa chatte. 16. La philanthropie de l’ouvrier charpentier La tripe en folie de l’ouvrier partant chier. 17. Les populations du Cap mettent notre échec en valeur Les copulations du pape mettent notre évêque ne chaleur. 18. Au site de Bologne, je préfère les mines de Pompéï Aux bites de Sologne, je préfère les pines de mon pays. 19. Rue de la paix Pue de la raie. 20. L’Afrique est bonne hôtesse et ses canicules vous emballent La trique est bonne aux fesses et ses cannibales vous enculent. 21. Quel beau métier professeur ! Quel beau fessier prometteur ! 22. Ça me brouille l’écoute ! Ça me broute les couilles ! 23. La symphonie fantastique La nympho s’astique la fente. 24. Il m'a promit son tennis Il m’a trop mis son pénis. 25. L’archéologue met le produits de ses fouilles dans tes caisses L’archéologue met le produits de ses couilles dans tes fesses. Le chanteur piémontais fête cinquante ans de carrière avec un double album live. Il nous a reçus chez lui, à Asti, pour en parler. Article réservé aux abonnés Journaliste au service Culture Publié le 12/11/2018 à 1557 Temps de lecture 7 min Depuis Asti Sur la façade de cette maison bourgeoise de la Via Dante se trouve toujours la plaque Avvocato Conte. Notaires de père en fils, les Conte ont livré en la personne de Paolo, mais aussi de son petit frère Giorgio, deux avocats qui, tous les deux, ont abandonné le droit au profit de la musique. C’est là que nous reçoit Paolo, 81 ans. Le citoyen d’Asti semble un peu fatigué et, pour la première fois en ce qui nous concerne, préfère la présence d’une traductrice, alors qu’il est parfait francophone. Cette rencontre est surtout l’occasion de remonter le cours d’une carrière exceptionnelle, née il y a cinquante ans avec le titre Azzurro », offert à l’époque à Adriano Celentano. Nous nous retrouvons dans votre maison d’enfance… Cet article est réservé aux abonnés Avec cette offre, profitez de L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée Le fil info La Une Tous Voir tout le Fil info Aussi en Culture Nos quinze coups de cœur de la rentrée littéraire Bien sûr, nous n’avons pas lu l’ensemble de la rentrée littéraire 490 romans à paraître jusqu’à la mi-octobre, c’est beaucoup, même pour l’équipe des Livres du Soir, mais nous vous avons toutefois concocté une sélection de quinze livres. Par Thierry Coljon , Daniel Couvreur , Alain Lallemand , Pierre Maury, Cédric Petit , Jean-Claude Vantroyen et Jean-Marie Wynants Critique Rencontres de Huy Chez Racagnac, Mamy fait de la résistance Par Catherine Makereel Entretien Les héros de notre enfance Les filles sont sous-représentées dans la fiction pour enfants» Par Lorraine Kihl Les géographies de Jérôme Minière Par Thierry Coljon Monolithe Noir en bord de Senne Par Thierry Coljon Voir plus d'articles Allez au-delà de l'actualité Découvrez tous les changements Découvrir À la Une Analyse Les Tornados finissent l’année avec une troisième médaille Euro d’athlétisme les Belgian Cheetahs échouent au pied du podium avec un record de Belgique, l’or revient aux Pays-Bas Turquie un camion percute une foule, au moins 16 morts et 29 blessés Basculons-nous dans une société de l’abonnement? Eden Hazard loupe un penalty avec le Real Madrid, quelques minutes après sa montée au jeu vidéo Vuelta Sam Bennett ouvre le bal des sprinters références La formation continue est une nécessité Une lourde boule au ventre qui me suit depuis des moisUne honte qui me ronge jusqu’au bout de mes doigtsUne peur du rejet a cause de cette différenceDont certaines personnes en ont une haine immenseCette haine inexpliquée et bien inexplicableDestinée a certaines créatures, pourtant bien aimablesQui se font fuir des gens comme s’ils étaient la pesteEt dont même certains amis peuvent retourner leurs vestesAu risque de choquer certains, nous ne sommes différentsQue pour avoir choisi un singulier cheminementNous devrions, normalement, n’avoir aucune honteJe le dis d’expérience, j’en ai aucune honteMais malheureusement, j’ai le droit d’être moi-mêmePersonne ne doit m’ordonner quel genre de personne j’aimeCe n’est pas de ma faute si les filles ne me plaisent pasJe suis comme je suis et personne ne le changeraBrefJe n’ai pas de regrets, et encore moins de remordsMême si des gens essaieront encore et encoreDe me reconvertir, mais ne faudrait-il pas mieuxQue je vive en étant heureux qu’en hétéro malheureux ?Non merci, je préfère rester moi-mêmemon instinct féminin qui guide mes poèmesA toujours été là, et fait parti de moiS’il te plaît, sois sympa, acceptes-moi comme ça’fin brefIl fallait enfin que je lève ce tabouOù les clichés bidons sont trop au rendez-vousJe suis quelqu’un de normal, mais juste pas banalNous aussi avons des rêves, nous aussi rêvons du graalAlors je peins mes couleurs, de la rue jusqu’à chez moiEt tant pis si pour certains, les couleurs ne plaisent pasJ’affiche fièrement et clâme içi ce qui fait ma forceSans ironie, honte ou peine, sans sous-entendu ou morseJe ne veux plus me cacher, et plus culpabiliserJe ne veux plus m’enfuir, je ne veux plus mentirC’est une ode a la joie sur ce que j’ai toujours étéEt que je veux assumer, pour le meilleur ou pour le pireEt oui, c’est comme ça, tel est mon destinEt quoi que l’on y fasse, personne n’y peut rienJe resterai comme je suis, sans masque ou déguisementJe cache cette vérité en moi depuis trop longtempsJe n’ai pas de regrets, et encore moins de remordsMême si des gens essaieront encore et encoreDe me reconvertir, mais ne faudrait-il pas mieuxQue je vive en étant heureux qu’en hétéro malheureux ?Non merci, je préfère rester moi-mêmemon instinct féminin qui guide mes poèmesA toujours été là, et fait parti de moiS’il te plaît, sois sympa, acceptes-moi comme caDes petits doutes sans réponses tout au commencementEt aussi des questions comme ’’ Que suis-je réellement ’’Ne savant quoi faire et ne savant quoi penserJe ne me savais pas apte a accepter la véritéJe me fuyais moi-même, m’estimant comme un monstreJe ne m’assumais pas, me demandant quoi faire contreEt puis avec le temps, j’ai enfin pus m’accepterEt aujourd’hui, je n’ai plus rien à me cacherMais le problème est là ; je m’accepte moi-mêmeMais allez savoir si il en va de mêmePour mes proches, amis, famille, et peut-être même toiQui lit ce texte de joie, d’honneur et de désarroiMais quoi qu’il en soit, j’ai continué ma routeEntre fierté d’être et peur du coming-outMais en faire un texte est déjà un grand pasLes révélations prendront le temps qu’il faudraJe n’ai pas de regrets, et encore moins de remordsMême si des gens essaieront encore et encoreDe me reconvertir, mais ne faudrait-il pas mieuxQue je vive en étant heureux qu’en hétero malheureux ?Non merci, je préfère rester moi-mêmemon instinct féminin qui guide mes poèmesA toujours été là, et fait parti de moiS’il te plaît, sois sympa, acceptes-moi comme çaMais quoi qu’il en soit, je n’en ai que faireDes peurs, haines, remarques et regards en coinToutes ces choses futiles, je passe au traversIgnorant les ignorants, là oú ils sont, ils sont bienJe le vis très bien, ça fait partie de moiPersonne ne devrait avoir peur de lui-même, de soiJ’ai choisi ma route, et je ne la lâcherai pasJ’ai choisi ma route, et j’en suis fier de moiLe monde s’ouvre à moi, j’en suis loin de faire le tourReste a savoir si je rencontrerai l’amourLes chances sont infimes, ce n’est que trop le casMais depuis toujours, je n’ai que foi en caL’avenir me dira cette réponse tant attendueMais j’ai encore le temps, je ne presse pas les chosesAlors je vis ma vie, restant ce que je fusLes poings serrés, les bras levés et en me soupirant ’’oses’’Je n’ai pas de regrets, et encore moins de remordsMême si des gens essaieront encore et encoreDe me reconvertir, mais ne faudrait-il pas mieuxQue je vive en étant heureux qu’en hétéro malheureux ?Non merci, je préfère rester moi-mêmemon instinct féminin qui guide mes poèmesA toujours été là, et fait parti de moiS’il te plaît, sois sympa, acceptes-moi comme çaSyllabes Hyphénique Je Préfère Rester Moi-Mêmeune=lour=de=bou=leau=ven=tre=qui=me=suit=de=puis=des=mois 14u=ne=hon=te=qui=me=ron=ge=jus=quau=bout=de=mes=doigts 14une=peur=du=re=jet=a=cau=se=de=cet=te=dif=fé=rence 14dont=cer=taines=per=son=nes=en=ont=u=ne=hai=ne=im=mense 14cet=te=hai=ne=i=nex=pli=quée=et=bien=i=nex=pli=cable 14des=ti=née=a=cer=taines=cré=a=tu=res=pour=tant=bien=ai=mables 15qui=se=font=fu=ir=des=gens=com=me=sils=é=taient=la=peste 14et=dont=même=cer=tains=a=mis=peu=vent=re=tour=ner=leurs=vestes 14au=ris=que=de=cho=quer=cer=tains=nous=ne=som=mes=dif=férents 14que=pour=a=voir=choi=si=un=sin=gu=lier=che=mi=ne=ment 14nous=de=vrions=nor=ma=le=ment=na=voir=au=cu=ne=hon=te 14je=le=dis=dex=pé=rien=ce=jen=ai=au=cu=ne=hon=te 14mais=mal=heu=reu=se=ment=jai=le=droit=dê=tre=moi=mê=me 14per=sonne=ne=doit=mor=don=ner=quel=gen=re=de=per=son=ne=jaime 15ce=nest=pas=de=ma=faute=si=les=filles=ne=me=plai=sent=pas 14je=suis=comme=je=suis=et=per=son=ne=ne=le=chan=ge=ra 14bref 1je=nai=pas=de=re=grets=et=en=co=re=moins=de=re=mords 14mê=me=si=des=gens=es=saie=ront=en=co=re=et=en=core 14de=me=re=con=ver=tir=mais=ne=fau=drait=til=pas=mieux 13que=je=vive=en=é=tant=heu=reux=quen=hé=té=ro=malheu=reux 14non=mer=ci=je=pré=fè=re=res=ter=moi=mê=me 12mon=ins=tinct=fé=mi=nin=qui=gui=de=mes=po=è=mes 13a=tou=jours=é=té=là=et=fait=par=ti=de=moi 12sil=te=plaît=sois=sym=pa=ac=cep=tes=moi=com=me=ça 13fin=bref 2il=fal=lait=en=fin=que=je=lè=ve=ce=ta=bou 12où=les=cli=chés=bi=dons=sont=trop=au=ren=dez=vous 12je=suis=quel=quun=de=nor=mal=mais=jus=te=pas=ba=nal 13nous=aus=si=a=vons=des=rêves=nous=aus=si=rê=vons=du=graal 14a=lors=je=peins=mes=cou=leurs=de=la=rue=jus=quà=chez=moi 14et=tant=pis=si=pour=cer=tains=les=cou=leurs=ne=plai=sent=pas 14jaf=fiche=fiè=re=ment=et=clâ=me=i=çi=ce=qui=fait=ma=force 15sans=i=ro=nie=honteou=pei=ne=sans=sous=en=ten=du=ou=morse 14je=ne=veux=plus=me=ca=cher=et=plus=cul=pa=bi=li=ser 14je=ne=veux=plus=men=fu=ir=je=ne=veux=plus=men=tir 13cest=uneo=de=a=la=joie=sur=ce=que=jai=tou=jours=é=té 14et=que=je=veux=as=su=mer=pour=le=meilleur=ou=pour=le=pire 14et=oui=cest=com=me=ça=tel=est=mon=des=tin 11et=quoi=que=lon=y=fas=se=per=son=ne=ny=peut=rien 13je=res=te=rai=comme=je=suis=sans=mas=queou=dé=gui=se=ment 14je=cache=cet=te=vé=ri=té=en=moi=de=puis=trop=long=temps 14je=nai=pas=de=re=grets=et=en=co=re=moins=de=re=mords 14mê=me=si=des=gens=es=saie=ront=en=co=re=et=en=core 14de=me=re=con=ver=tir=mais=ne=fau=drait=til=pas=mieux 13que=je=vive=en=é=tant=heu=reux=quen=hé=té=ro=malheu=reux 14non=mer=ci=je=pré=fè=re=res=ter=moi=mê=me 12mon=ins=tinct=fé=mi=nin=qui=gui=de=mes=po=è=mes 13a=tou=jours=é=té=là=et=fait=par=ti=de=moi 12sil=te=plaît=sois=sym=pa=ac=cep=tes=moi=com=me=ca 13des=pe=tits=doutes=sans=ré=pon=ses=tout=au=com=men=ce=ment 14et=aus=si=des=ques=tions=com=me=que=suis=je=réel=le=ment 14ne=sa=vant=quoi=fai=re=et=ne=sa=vant=quoi=pen=ser 13je=ne=me=sa=vais=pas=ap=tea=ac=cep=ter=la=vé=ri=té 15je=me=fu=y=ais=moi=même=mes=ti=mant=com=me=un=monstre 14je=ne=mas=su=mais=pas=me=de=man=dant=quoi=fai=re=contre 14et=puis=a=vec=le=temps=jai=en=fin=pus=mac=cep=ter 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14non=mer=ci=je=pré=fè=re=res=ter=moi=mê=me 12mon=ins=tinct=fé=mi=nin=qui=gui=de=mes=po=è=mes 13a=tou=jours=é=té=là=et=fait=par=ti=de=moi 12sil=te=plaît=sois=sym=pa=ac=cep=tes=moi=com=me=ça 13Phonétique Je Préfère Rester Moi-Mêmeynə luʁdə bulə o vɑ̃tʁə ki mə sɥi dəpɥi dε mwaynə ɔ̃tə ki mə ʁɔ̃ʒə ʒysko bu də mε dwaynə pœʁ dy ʁəʒε a kozə də sεtə difeʁɑ̃sədɔ̃ sεʁtεnə pεʁsɔnəz- ɑ̃n- ɔ̃ ynə-εnə imɑ̃səsεtə-εnə inεksplike e bjɛ̃ inεksplikablədεstine a sεʁtεnə kʁeatyʁə, puʁtɑ̃ bjɛ̃ εmabləki sə fɔ̃ fɥiʁ dε ʒɑ̃ kɔmə silz- etε la pεstəe dɔ̃ mεmə sεʁtɛ̃z- ami pəve ʁətuʁne lœʁ vεstəo ʁiskə də ʃɔke sεʁtɛ̃, nu nə sɔmə difeʁɑ̃kə puʁ avwaʁ ʃwazi œ̃ sɛ̃ɡylje ʃəminəmɑ̃nu dəvʁjɔ̃, nɔʁmaləmɑ̃, navwaʁ okynə ɔ̃təʒə lə di dεkspeʁjɑ̃sə, ʒɑ̃n- ε okynə ɔ̃təmε maləʁøzəmɑ̃, ʒε lə dʁwa dεtʁə mwa mεməpεʁsɔnə nə dwa mɔʁdɔne kεl ʒɑ̃ʁə də pεʁsɔnə ʒεməsə nε pa də ma fotə si lε fijə nə mə plεze paʒə sɥi kɔmə ʒə sɥiz- e pεʁsɔnə nə lə ʃɑ̃ʒəʁabʁεfʒə nε pa də ʁəɡʁε, e ɑ̃kɔʁə mwɛ̃ də ʁəmɔʁdmεmə si dε ʒɑ̃z- esεəʁɔ̃ ɑ̃kɔʁə e ɑ̃kɔʁədə mə ʁəkɔ̃vεʁtiʁ, mε nə fodʁε til pa mjøkə ʒə vivə ɑ̃n- etɑ̃ œʁø kɑ̃n- eteʁo maləʁø ?nɔ̃ mεʁsi, ʒə pʁefεʁə ʁεste mwa mεməmɔ̃n- ɛ̃stɛ̃ feminɛ̃ ki ɡidə mε pɔεməa tuʒuʁz- ete la, e fε paʁti də mwasil tə plε, swa sɛ̃pa, aksεptə mwa kɔmə safɛ̃ bʁεfil falε ɑ̃fɛ̃ kə ʒə lεvə sə tabuu lε kliʃe bidɔ̃ sɔ̃ tʁo o ʁɑ̃de vuʒə sɥi kεlkœ̃ də nɔʁmal, mε ʒystə pa banalnuz- osi avɔ̃ dε ʁεvə, nuz- osi ʁεvɔ̃ dy ɡʁaalalɔʁ ʒə pɛ̃ mε kulœʁ, də la ʁy ʒyska ʃe mwae tɑ̃ pi si puʁ sεʁtɛ̃, lε kulœʁ nə plεze paʒafiʃə fjεʁəmɑ̃ e klamə isi sə ki fε ma fɔʁsəsɑ̃z- iʁɔni, ɔ̃tə u pεnə, sɑ̃ suz- ɑ̃tɑ̃dy u mɔʁsəʒə nə vø plys mə kaʃe, e plys kylpabilizeʒə nə vø plys mɑ̃fɥiʁ, ʒə nə vø plys mɑ̃tiʁsεt- ynə ɔdə a la ʒwa syʁ sə kə ʒε tuʒuʁz- etee kə ʒə vøz- asyme, puʁ lə mεjœʁ u puʁ lə piʁəe ui, sε kɔmə sa, tεl ε mɔ̃ dεstɛ̃e kwa kə lɔ̃n- i fasə, pεʁsɔnə ni pø ʁjɛ̃ʒə ʁεstəʁε kɔmə ʒə sɥi, sɑ̃ maskə u deɡizəmɑ̃ʒə kaʃə sεtə veʁite ɑ̃ mwa dəpɥi tʁo lɔ̃tɑ̃ʒə nε pa də ʁəɡʁε, e ɑ̃kɔʁə mwɛ̃ də ʁəmɔʁdmεmə si dε ʒɑ̃z- esεəʁɔ̃ ɑ̃kɔʁə e ɑ̃kɔʁədə mə ʁəkɔ̃vεʁtiʁ, mε nə fodʁε til pa mjøkə ʒə vivə ɑ̃n- etɑ̃ œʁø kɑ̃n- eteʁo maləʁø ?nɔ̃ mεʁsi, ʒə pʁefεʁə ʁεste mwa mεməmɔ̃n- ɛ̃stɛ̃ feminɛ̃ ki ɡidə mε pɔεməa tuʒuʁz- ete la, e fε paʁti də mwasil tə plε, swa sɛ̃pa, aksεptə mwa kɔmə kadε pəti dutə sɑ̃ ʁepɔ̃sə tut- o kɔmɑ̃səmɑ̃e osi dε kεstjɔ̃ kɔmə kə sɥi ʒə ʁeεllmεntnə savɑ̃ kwa fεʁə e nə savɑ̃ kwa pɑ̃seʒə nə mə savε pa aptə a aksεpte la veʁiteʒə mə fyiε mwa mεmə, mεstimɑ̃ kɔmə œ̃ mɔ̃stʁəʒə nə masymε pa, mə dəmɑ̃dɑ̃ kwa fεʁə kɔ̃tʁəe pɥiz- avεk lə tɑ̃, ʒε ɑ̃fɛ̃ py maksεptee oʒuʁdɥi, ʒə nε plys ʁjɛ̃ a mə kaʃemε lə pʁɔblεmə ε la, ʒə maksεptə mwa mεməmεz- ale savwaʁ si il ɑ̃ va də mεməpuʁ mε pʁoʃə, ami, famijə, e pø tεtʁə mεmə twaki li sə tεkstə də ʒwa, dɔnœʁ e də dezaʁwamε kwa kil ɑ̃ swa, ʒε kɔ̃tinye ma ʁutəɑ̃tʁə fjεʁte dεtʁə e pœʁ dy kɔmiŋ umεz- ɑ̃ fεʁə œ̃ tεkstə ε deʒa œ̃ ɡʁɑ̃ palε ʁevelasjɔ̃ pʁɑ̃dʁɔ̃ lə tɑ̃ kil fodʁaʒə nε pa də ʁəɡʁε, e ɑ̃kɔʁə mwɛ̃ də ʁəmɔʁdmεmə si dε ʒɑ̃z- esεəʁɔ̃ ɑ̃kɔʁə e ɑ̃kɔʁədə mə ʁəkɔ̃vεʁtiʁ, mε nə fodʁε til pa mjøkə ʒə vivə ɑ̃n- etɑ̃ œʁø kɑ̃n- etəʁo maləʁø ?nɔ̃ mεʁsi, ʒə pʁefεʁə ʁεste mwa mεməmɔ̃n- ɛ̃stɛ̃ feminɛ̃ ki ɡidə mε pɔεməa tuʒuʁz- ete la, e fε paʁti də mwasil tə plε, swa sɛ̃pa, aksεptə mwa kɔmə samε kwa kil ɑ̃ swa, ʒə nɑ̃n- ε kə fεʁədε pœʁ, εnə, ʁəmaʁkz- e ʁəɡaʁdz- ɑ̃ kwɛ̃tutə sε ʃozə fytilə, ʒə pasə o tʁavεʁiɲɔʁɑ̃ lεz- iɲɔʁɑ̃, la ɔ il sɔ̃, il sɔ̃ bjɛ̃ʒə lə vis tʁε bjɛ̃, sa fε paʁti də mwapεʁsɔnə nə dəvʁε avwaʁ pœʁ də lɥi mεmə, də swaʒε ʃwazi ma ʁutə, e ʒə nə la laʃəʁε paʒε ʃwazi ma ʁutə, e ʒɑ̃ sɥi fje də mwalə mɔ̃də suvʁə a mwa, ʒɑ̃ sɥi lwɛ̃ də fεʁə lə tuʁʁεstə a savwaʁ si ʒə ʁɑ̃kɔ̃tʁəʁε lamuʁlε ʃɑ̃sə sɔ̃t- ɛ̃fimə, sə nε kə tʁo lə kamε dəpɥi tuʒuʁ, ʒə nε kə fwa ɑ̃ kalavəniʁ mə diʁa sεtə ʁepɔ̃sə tɑ̃ atɑ̃dɥmε ʒε ɑ̃kɔʁə lə tɑ̃, ʒə nə pʁεsə pa lε ʃozəalɔʁ ʒə vis ma vi, ʁεstɑ̃ sə kə ʒə fylε puiŋ seʁe, lε bʁa ləvez- e ɑ̃ mə supiʁɑ̃tozəsʒə nε pa də ʁəɡʁε, e ɑ̃kɔʁə mwɛ̃ də ʁəmɔʁdmεmə si dε ʒɑ̃z- esεəʁɔ̃ ɑ̃kɔʁə e ɑ̃kɔʁədə mə ʁəkɔ̃vεʁtiʁ, mε nə fodʁε til pa mjøkə ʒə vivə ɑ̃n- etɑ̃ œʁø kɑ̃n- eteʁo maləʁø ?nɔ̃ mεʁsi, ʒə pʁefεʁə ʁεste mwa mεməmɔ̃n- ɛ̃stɛ̃ feminɛ̃ ki ɡidə mε pɔεməa tuʒuʁz- ete la, e fε paʁti də mwasil tə plε, swa sɛ̃pa, aksεptə mwa kɔmə saSyllabes Phonétique Je Préfère Rester Moi-Mêmey=nə=luʁ=də=bu=lə=o=vɑ̃=tʁə=ki=mə=sɥi=dəp=ɥi=dε=mwa 16y=nə=ɔ̃=tə=ki=mə=ʁɔ̃=ʒə=ʒys=ko=bu=də=mε=dwa 14y=nə=pœʁ=dy=ʁə=ʒε=a=ko=zə=də=sε=tə=di=fe=ʁɑ̃=sə 16dɔ̃=sεʁ=tε=nə=pεʁ=sɔ=nə=zɑ̃=nɔ̃=y=nə-ε=nə=i=mɑ̃=sə 16sε=tə-ε=nə=i=nεk=spli=ke=e=bj=ɛ̃=i=nεk=spli=ka=blə 16dεs=ti=ne=a=sεʁ=tε=nə=kʁe=a=ty=ʁə=puʁ=tɑ̃=bjɛ̃=ε=mablə 16ki=sə=fɔ̃=fɥ=iʁ=dε=ʒɑ̃=kɔ=mə=sil=ze=tε=la=pεs=tə 15e=dɔ̃=mε=mə=sεʁ=tɛ̃=za=mi=pə=ve=ʁə=tuʁ=ne=lœʁ=vεs=tə 16o=ʁis=kə=də=ʃɔ=ke=sεʁ=tɛ̃=nu=nə=sɔ=mə=di=fe=ʁɑ̃ 15kə=puʁ=a=vwaʁ=ʃwa=zi=œ̃=sɛ̃=ɡy=lj=e=ʃə=mi=nə=mɑ̃ 15nu=də=vʁj=ɔ̃=nɔʁ=ma=lə=mɑ̃=na=vwaʁ=o=ky=nə=ɔ̃=tə 15ʒə=lə=di=dεk=spe=ʁj=ɑ̃=sə=ʒɑ̃=nε=o=ky=nə=ɔ̃=tə 15mε=ma=lə=ʁø=zə=mɑ̃=ʒε=lə=dʁwa=dε=tʁə=mwa=mε=mə 14pεʁ=sɔ=nə=nə=dwa=mɔʁ=dɔ=ne=kεl=ʒɑ̃=ʁə=də=pεʁ=sɔ=nə=ʒεmə 16sə=nε=pa=də=ma=fo=tə=si=lε=fi=jə=nə=mə=plε=ze=pa 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poster ce texte, mais suivant les avis de certains amis du site que je ne citerai pas , je l’ai posté… Si l’opignon general veut que je retire ce slam, c’est pas grave, il n’y a qu’a le dire, au moins, ca aura toujours pus m’exterioriser Et surtout, ne soyez pas choqués… Amitié Glaze "Putain, il m'a retrouvée." Quand, début septembre, Claire reçoit un SMS avec une photo provenant d'un numéro inconnu, elle panique. "J'ai eu des bouffées de chaleur, je transpirais." C'est un banal texto mais, l'espace de quelques secondes, Claire en est persuadée le cauchemar va recommencer. Un cauchemar vieux de trois ans, qui lui a abîmé la santé, a détruit son rapport aux autres et l'a conduite devant la justice. C'était un après-midi d'août 2011. Claire, 24 ans, fonctionnaire à Paris, reçoit un mail anonyme. Avec la photo d'une paire de fesses les suite après la publicité Le message est assorti d'une formule énigmatique "Si tu veux pas que ça se diffuse." Le lendemain, de nouvelles photos, avec cette menace "Quitte-le, c'est le seul moyen pour éviter que les photos vidéos circulent." Claire ne le sait pas encore, mais le mécanisme du "revenge porn" est enclenché. La menace a été mise à exécution Ce phénomène, né aux Etats-Unis dans les années 2000, consiste à diffuser sur internet, par vengeance, des images de son ex nu, voire des clichés pornographiques. Les affaires commencent à se multiplier en France lire l'encadré ci-dessous. Mais il n'est pas facile de trouver des victimes qui acceptent de témoigner. La plupart n'osent même pas aller jusqu'au procès. Si Claire s'exprime aujourd'hui, c'est pour éviter que d'autres tombent dans le même piège. A partir de ce moment-là, ma vie a basculé. Tous les matins, avant d'aller au boulot, je vérifiais qu'il n'y avait rien de nouveau sur les sites pornos. Et le porno à 7 heures, franchement, c'est dur. J'ai vécu deux ans avec ça, deux ans durant lesquels n'importe qui, en tapant mon nom, pouvait me voir nue sur jours après les premiers messages, un mail anonyme l'avertit que la menace de diffuser les images a été mise à exécution. "Il y a des photos de toi nue sur internet, il paraît qu'il faut t'écrire pour que tu en republies." Un mois plus tard, elle découvre dans sa boîte aux lettres une enveloppe contenant des captures d'écran de sites pornos. Des inconnues, mais aussi des photos d'elle, seins nus, dans sa baignoire, ou à quatre pattes sur son lit…La suite après la publicité Claire prend peur et, cette fois, fonce au commissariat pour porter plainte. L'accueil est plutôt froid On ne me l'a pas dit clairement, mais on m'a fait comprendre que je ne l'avais peut-être pas volé en posant pour ces clichés - il y en a une vingtaine -, datent de sa relation avec Victor. Elle vient de le quitter, au bout de six ans, pour Jérémy, un de ses collègues. Claire avait stocké les photos sur son ordinateur. Elle se rend alors compte qu'elles ont disparu. "Tape ton nom sur YouTube" Les mails se multiplient - elle en recevra une centaine en un an, jusqu'à quatre par jour. "Tape ton nom sur YouTube", lui ordonne un jour son correspondant anonyme. Claire découvre une vidéo d'elle en plein strip-tease, où sont indiqués son nom, son prénom et son adresse mail professionnelle. Elle s'effondre La suite après la publicité Il était 7h30, je me préparais pour aller au travail, j'ai pleuré pendant une heure. J'ai vite réalisé qu'une vidéo postée sur un site porno était reprise sur des tonnes d'autres. C'est quand même hallucinant, je me suis retrouvée sur des sites au Pakistan, au Liban… Le pire, c'est que je suis la seule personne en France à porter ce nom."Claire et son avocate demandent aux sites de retirer photos et vidéos. "Sur les plateformes grand public, comme Dailymotion, c'est très efficace. Mais sur les sites pornos, c'est nettement plus compliqué." La jeune femme vit très mal cette exposition forcée. J'ai pris 20 kilos en un peu moins d'un an. Je restais chez moi et je mangeais. Je dormais mal, je me suis bloqué le dos ou la nuque plusieurs fois, j'avais des crises d'angoisse."Son médecin traitant lui prescrit des antidépresseurs, des anxiolytiques, établit plusieurs arrêts de travail. "J'avais déjà entamé une psychothérapie, j'ai fait de l'hypnose." Surtout, Claire est soutenue par son entourage. "J'en ai parlé à mes parents dès le premier mail. Ça n'a pas été facile, mais j'ai préféré avoir honte que porter ce poids toute seule." Mystérieux corbeau Quand le mystérieux corbeau lui envoie des photos d'elle endormie, tout s'éclaire. Le coupable ne peut être que Jérémy. Les photos étaient détourées, le décor était effacé autour de moi, mais il y avait un halo rouge sur ma peau. J'ai reconnu la couleur de ses relation, qui aura duré à peine trois mois, s'était rapidement révélée toxique. Quand elle a débuté, Jérémy vivait déjà en couple, mais lui assurait ne plus avoir de relations avec sa compagne. Ou plutôt ne jamais en avoir eu. "Il racontait qu'ils avaient été violés tous les deux. Il avait l'air gêné par la sexualité, il ne supportait pas les films pornos." Il s'était présenté comme une victime pour mieux la manipuler. Il demande Claire en mariage, alors qu'il vient d'acheter une maison avec sa conjointe. Il m'avait même acheté une bague, et le pire c'est que j'ai dit oui ! C'était une période où j'étais fragile, j'avais envie de croire à notre histoire."Jérémy se montre dépressif, jaloux - notamment de Victor. "Je le sentais néfaste, j'ai progressivement pris mes distances." C'est à ce moment-là que le jeune homme dérobe les photos sur son ordinateur. Et qu'elle reçoit le premier mail suite après la publicité Après la séparation, Jérémy se montre compatissant et suit chaque épisode du harcèlement dont Claire est victime. Il jouait un double jeu. Il m'a bernée comme une petite collégienne. Au moment des premiers mails, j'ai fait une recherche d'adresse IP qui menait à l'endroit où il avait passé un week-end. Toutes les preuves étaient là, mais je ne voyais rien. J'ai mis six mois à comprendre."Elle menace alors son persécuteur "Je sais que c'est toi, et je vais te balancer à la hiérarchie." Il nie, mais quelques photos sont retirées des sites. Claire dépose une deuxième plainte, cette fois en accusant nommément Jérémy. "Il m'espionnait" En janvier 2012, celui-ci finit par passer aux aveux. "J'étais soulagée, je pensais que tout allait s'arrêter", se souvient Claire. Las ! Le harcèlement continue. "Des vidéos étaient republiées sur internet, j'ai cru que ça n'en finirait jamais. Je tapais tous les jours mon nom dans Google pour voir ce qui apparaissait." Désormais, lorsqu'elle rencontre de nouvelles personnes, elle ne donne plus que son prénom. De peur que ses interlocuteurs ne tombent sur les photos… Le harcèlement dure depuis un an quand Claire reçoit un mail évoquant la couleur de sa chambre, qu'elle vient de repeindre. "J'ai compris qu'il m'espionnait." La jeune femme décide d'affronter Jérémy en chair et en os. "Il était très arrogant, avec son petit sourire en coin, il prétendait que je n'avais rien contre lui, qu'il avait été contraint d'avouer." Le rendez-vous produit quand même son effet elle n'aura plus jamais de ses nouvelles. "Il a dû trouver d'autres victimes."La suite après la publicité En novembre 2013, Jérémy a été convoqué devant la justice pour une audience de Comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité CRPC, ou "plaider-coupable". Il s'y est présenté sans avocat, puis a renoncé à bénéficier de cette procédure. La date de son procès en correctionnelle n'est pas encore fixée, mais celui-ci n'aura pas lieu avant plusieurs mois. [Recontactée par "L'Obs" en décembre 2015, Claire indique "le jugement a fini par être rendu en septembre. Il a été condamné à 8 mois de prison dont six avec sursis et à euros de dommages et intérêts mais il a fait appel", NDLR]. Claire soupire Ça a été un nouveau gros choc, alors que je commençais à aller mieux. J'espérais que ce serait enfin fini. Je veux qu'il paie, pas financièrement, mais qu'il ait un casier. Qu'il comprenne qu'on ne peut pas faire ça impunément."De cette histoire douloureuse, la jeune femme a conservé une grande défiance dans ses rapports aux autres. "Je pars du principe que tout est faux, je ne crois plus personne." Elle se méfie aussi de la technologie. Je stocke tout sur clé USB, rien sur mon ordinateur. Et Facebook, c'est fini."Des photos d'elle sont encore visibles sur certains sites. J'ai beau envoyer des dizaines de mails de réclamation, ça ne change rien. Sur Google, quand on tape mon nom associé à 'sexe', on tombe encore dessus. Elles ne disparaîtront jamais, sauf si Jérémy les retire."Elle continue de se "googliser" une fois par mois, pour vérifier. "Ce dont j'avais honte, c'était d'être exposée à la vue de tous, pas d'avoir fait les photos." Pour autant, elle hésitera avant de poser à nouveau pour ce genre de clichés. "Ou alors sans montrer mon visage…"La suite après la publicité *Les prénoms ont été modifiés Anne-Sophie Hojlo et Amandine SchmittIllustrations Frédéric Rébéna/Costume 3 Pièces “Cindy la suceuse” sur FacebookCindy et Julien se sont connus sur internet. Ils se rencontrent deux ou trois fois. Pour pimenter cette relation de quelques jours, la jeune femme lui envoie des photos d'elle, prises avec un précédent petit ami. Elle y apparaît nue, dans des positions explicites. Quelques semaines plus tard, Cindy reçoit une invitation Facebook illustrée par une photo d'elle. Intriguée, elle l'accepte. Et découvre un profil au nom de "Cindy la suceuse", où elle reconnaît ses clichés. Le même jour, ces photos, imprimées, sont distribuées dans toutes les boîtes aux lettres de son immeuble, accompagnées du même sobriquet. Elle accuse rapidement Julien. Lui nie tout, affirme qu'il était à l'étranger le jour de la fameuse distribution. Les magistrats ne le croient pas il est condamné en première instance puis en appel à quatre mois de prison avec sursis et euros de dommages et intérêts. Surtout, sa condamnation est inscrite à son casier judiciaire. Agent de la RATP, Julien a perdu son H. Le cadre juridique Contrairement à l'Australie, Israël et certains Etats américains, en France, aucune loi spécifique n'encadre le "revenge porn". L’article 226-1 du Code pénal punit d’un an d’emprisonnement et de euros d’amende le fait de "porter atteinte volontairement à l’intimité de la vie privée d’autrui, en fixant, enregistrant ou transmettant sans le consentement de celle-ci l’image d’une personne se trouvant dans un lieu privé." Mais le texte est diversement appliqué par les magistrats et certains avocats l'estiment inadapté. Les hommes aussi Spécialisé dans le "revenge porn", le site héberge des photos et vidéos de nus ou pornographiques. En effectuant une recherche par zone géographique, on trouve les fiches de nombreuses personnes en France, nom et prénom inclus. Celles-ci l'ignorent sans doute… Sur le site porno Xhamster, Jules, 22 ans, a découvert une vidéo de lui en pleine fellation, intitulée "salope qui suce". Elle avait été postée par son ex-petit ami, et vue par personnes !

chanson c est mon anniversaire le jour que je préfère